Sous les projecteurs
Ils sont de petit ou de grand format, souvent très colorés, mais surtout, peu épais. Ils offrent en un coup d’œil un aperçu de la saison à venir. Pour la prochaine saison, les programmes s’adaptent à la situation instable.
Pour les équipes municipales élues en 2020, la mise en place du projet a été compliquée par la crise. Les nouveaux élus ont profité de cette année pour rencontrer les acteurs culturels de leur territoire.
Incertitudes et protocoles sanitaires fluctuants ont eu un impact sur la billetterie et les coûts d’organisation des festivals.
Si le contexte actuel peut inciter à réduire la part des productions internationales dans les programmations, un tel choix n’est pas sans conséquences.
Les jeunes compagnies, peu structurées administrativement, sont les premières à sentir les effets de la crise. L'écoute et le soutien des producteurs et diffuseurs leur est plus que jamais nécessaire.
Si, sur les plateaux, les artistes commencent à s’emparer des questions touchant à la diversité, force est de constater que la profession reste encore à la traîne.
Impossible de dresser un bilan clair et homogène de cet été 2021 qui aura été marqué par des fortunes diverses pour les festivals.
L’obligation de pass sanitaire a des conséquences pour les salles de spectacles. Un casse-tête en interne et dans la relation aux publics.
Tous les acteurs du spectacle vivant ne sont pas égaux face à une reprise encore incertaine. Les enjeux sont considérables sur les premières semaines de cette nouvelle saison.
Une cartographie a été présentée lors des états généraux des Festivals à Bourges le 28 juin dernier.
La Philharmonie des enfants, à Paris, ouvrira ses portes le 29 septembre.
Une perte de revenu nette de 870 euros en moyenne sur l’année 2022 pour les musiciens.