Sous les projecteurs
Pour que les femmes trouvent mieux leur place dans le secteur culturel et se fassent mieux respecter, des programmes de womentorat rencontrent un grand succès.
Devant les difficultés à recruter et à garder les professionnels de la culture, des initiatives sont mises en œuvre pour améliorer les conditions d’exercice de ces fonctions.
Au cœur du système de diffusion en France, les scènes nationales vont considérablement réduire la voilure la saison prochaine.
L’artiste marionnettiste élise Vigneron a transmis à une équipe américaine, constituée ad hoc, son spectacle « Anywhere ». Près de deux ans de travail ont été nécessaires.
Des réseaux de lieux labelisés ont mis en place des parcours de formation à destination des directrices et directeurs entrants. Et songent à les étendre à celles et ceux qui postulent.
Les inquiétudes nées de l’impossibilité de faire cohabiter été festivalier et Jeux olympiques en 2024 ont laissé place à un vent d’optimisme.
Dans la course au gigantisme entre festivals, certains ont choisi de réduire leur format. Parfois pour des raisons davantage financières qu’environnementales.
Facilitation, recherche-création, « encapacitation » des habitants : de nouvelles méthodes de travail se font jour sur les territoires.
Encore peu répandue dans le spectacle vivant, cette pratique possède nombre de vertus, dont celles de contribuer à la découvrabilité et d’allier communication et médiation.
Chercheur en socio‑économie de la culture, Philippe Henry s’est toujours évertué à analyser les mécanismes de coopération dans le secteur culturel.
Une trentaine de contributions permettent de faire ici un état des lieux de la recherche francophone sur les formes et les pratiques musicales contemporaines des musiques populaires.
L’ouvrage s’attache dans sa première partie à dresser des correspondances entre des thématiques et techniques de la sphère du spectacle.