Sous les projecteurs
Les équipements culturels sont appelés à réinventer leurs propositions pour élargir les publics et optimiser son offre.
De plus en plus nombreux, les comités de programmation de jeunes sont une expérience riche malgré un important investissement humain.
À la croisée de plusieurs esthétiques ou dans un changement de genre artistique, de nombreux artistes prennent des chemins de traverse.
Entre modifier les tarifs au risque de se couper d’une partie du public et réaliser des économies qui pourraient fragiliser l’écosystème
du spectacle vivant, les lieux sont confrontés à un véritable dilemme.
En dépit de trois années de crise (sanitaire, économique...), le mécénat ne semble pas en perte de vitesse. À condition de s’y investir avec une stratégie bien définie.
Cette année est celle du changement à Avignon. Les festivals « In » et « Off » s’engagent sur de nouvelles voies, impulsées par leurs directions et présidences respectives.
Comment développer son ancrage territorial, sa stratégie à l’égard des publics, et l’internationalisation de son projet ?
Le performeur/ plasticien et l’ancienne directrice de Chahuts, autrice et metteuse en scène, livrent ici un ouvrage singulier...
Un ouvrage complet et documenté de Guillaume Kosmicki.
Le petit-fils de l’un des directeurs de cette salle mythique (Gaston Habrekorn) livre ici le récit d’une aventure artistique qui débute au XIXe siècle.
La 42e édition du festival Jazz sous les pommiers, à Coutances (Manche), a accueilli les « Jazz Export Days », du 15 au 17 mai.
Les années passent et rien ne se ressemble.